IAC : Institut d'anthropologie clinique / SÉMINAIRE

Séminaire

Nos publications sont le point de partage de ce qui nourrit recherches, études et réflexions sur lesquelles s’appuient notre offre de formation.
Elles témoignent de notre inclinaison à transmettre à tous vents et de notre axe résolument interdisciplinaire.
Elles se déclinent, dans une diversité d’ambition, de formats et de médias utilisés, en articles, textes, billets, livres et vidéos.
Nos publications vous offrent à lire ou entendre humeurs, critiques, réflexions, analyses, exposés, conférences… toujours en pertinence et proximité des terrains qu’elles concernent.

Episodes : Séminaires Anthropologie Clinique

Séminaire anthropologie clinique :

ACTUALITE DE L’ANTHROPOLOGIE CLINIQUE EN CONSTRUCTION

Un séminaire tout les 2 mois.

Accès libre; en présentiel à l’iac (nombre de places limité) ou à distance.

L’objet de ce séminaire est de poursuivre par un élargissement et un approfondissement les questions ouvertes par les deux articles princeps (Duruz, Escots, PSN, 2015) qui se proposaient d’établir les bases d’une construction épistémologique pour l’anthropologie clinique.

Dans le but d’un approfondissement plus structuré de l’anthropologie clinique (AC), les prochains séminaires consacrés à l’« Anthropologie Clinique en construction » connaîtront une nouvelle formule : un des animateurs du séminaire introduira l’invité du jour en abordant une problématique spécifique de l’anthropologie clinique, au sujet de laquelle l’invité du jour apportera de son point de vue éclairage et critique.

Comité scientifique : Nicolas Duruz, Serge Escots, Antoine Devos.

La médiagraphie est enrichie au fur et à mesure des séminaires.

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Table ronde : En quoi l’articulation du système pulsionnel de Szondi avec certains concepts de la théorie de Jacques Lacan ouvre des perspectives pour l’anthropologie clinique. Discussion à propos de la présentation de Dominique Reniers avec Antoine Devos, Nicolas Duruz, Jean-Claude Maes et Serge Escots (avec la participation de Dominique Reniers).

S19 – Table ronde : En quoi l’articulation du système pulsionnel de Szondi avec certains concepts de la théorie de Jacques Lacan ouvre des perspectives pour l’anthropologie clinique.

Sur la base des acquis de la séance précédente, c’est du côté de Jacques Schotte qu’il s’agira alors d’orienter nos pas, notamment avec cette trouvaille des circuits au sein du schéma szondien, rappelant au passage l’ineptie qu’il y aurait à figer la pulsion au sein d’une approche statique de celui-ci, et soulignant de surcroît que c’est justement à ce niveau de la Trieb, qui s’y décline qu’il convient d’entendre à sa juste portée le terme de destin qui constitue le cœur et la puissance (au sens de la dunamis -δυναμις- grecque) de la pensée de Szondi.

S18 – Du circuit pulsionnel de Schotte à l’objet a : une lecture du système de Szondi dans une perspective lacanienne.

Un rappel succinct de la théorie szondienne et de l’épreuve qui en répond s’impose dans un premier temps. Il s’agira, outre la détermination des racines de la pensée szondienne, auxquelles répondent les concepts de destin et de choix, sur lesquels je m’arrêterai un (trop) court instant, de présenter le schéma pulsionnel szondien dans sa construction première et dans la logique qui la sous-tend.

S17 – De la logique du schéma pulsionnel de Szondi aux quatre fantasmes originaires de Freud

Table ronde : pour discuter les divergences et convergences entre le modèle de Georges Devereux et l’anthropologie clinique autour de quelques questions suscitées par l’exposé de Gesine Sturm.

S16 – Table ronde : pour discuter les divergences et convergences entre le modèle de Georges Devereux et l’anthropologie clinique autour de quelques questions suscitées par l’exposé de Gesine Sturm.

La « méthode complémentariste » est une des innovations méthodologiques les plus ingénieuses de Georges Devereux. Face aux données complexes, tel que le comportement humain, Devereux propose, exige, une approche qui combine plusieurs analyses, suivant des méthodes différentes, de façon obligatoire, mais non-simultanée.

S15 – Revisiter le complémentarisme de Georges Devereux : interrogations à partir de la clinique et de la recherche interculturelle

Une séance introduisant un modèle, une approche ou une technique clinique particulière sera suivie d’une table ronde qui se donnera le temps et l’espace de travailler autour de questions dégagées à partir de l’exposé dans la perspective des convergences ou divergences avec l’anthropologie clinique.

S14 – Table ronde : Matte-Blanco et l’anthropologie clinique.

Matte Blanco a montré, en suivant ce que Freud disait du fonctionnement de l’inconscient, que celui-ci avait un mode de pensée « homogénéisant » ou bien « symétrisant ». C’est-à-dire que ce qui apparaissait comme clair et univoque à la pensée consciente, dans l’inconscient, devenait de plus en plus mélangé et inversable.

S13 - Ignacio Matte Blanco penseur du pluralisme épistémologique

La dernière séance permettra de dresser un bilan sur ce qui s’est passé durant les séminaires de cette année, consacrés à l’anthropologie clinique. Loin d’aborder une nouvelle thématique, le bref exposé de Nicolas Duruz consistera à revisiter les dix exposés qui y ont été proposés, à en dégager leur possible fil rouge intégratif et à faire émerger, dans un échange entre participants, des idées et suggestions pour la poursuite du séminaire de 2022-2023.

S12 - Interlude conclusif

Cette séance fait suite à la première présentation d’Antoine Devos lors du séminaire 3 sur les droits et besoins fondamentaux des enfants, (cf lien présentation du S3). Dans ce premier temps de travail, il s’agissait de compléter l’approche des besoins fondamentaux de l’enfant (Escots, Devolder, 2018), par la question des droits de l’enfant, dans la perspective de l’anthropopsychiatrie de Jacques Schotte.

Anthropologie clinique des besoins et droits fondamentaux de l’enfant : expérimentation d’un outil de dialogue partenarial.

Après avoir exploré les développements récents de la sémiotique fondamentale, avec Alessio Moretti, il s’agira pour cette séance d’envisager une application pratique en thérapie. Nous repartirons du postulat de Gregory Bateson sur la double contrainte et la paradoxalité dans les relations humaines et explorerons dans différents modèles de thérapie familiales comment la sémiotique permet de dégager des voies d'interventions.

S10 - Application sémiotique en psychothérapie systémique : double contrainte et sens. Utiliser la sémiotique en thérapie.

Après avoir expliqué son intérêt pour la sémiotique en tant que clinicien, l’intervenant décrira sa conception des quatre espaces psychiques défini comme : intrapsychique, interpersonnel-relationnel, interrelationnel-systémique, collectif-social, pour aboutir à une relecture du concept de clivage qui en renouvelle de façon inédite la perspective psychopathologique et anthropologique.

S9 - Anthropologie clinique d’un concept majeur : abord sémiotique du clivage

Quelle que soit la place qu’on lui confère au sein de la médecine, l’ambiguïté de la clinique est notoire. Cette difficulté hypothèque d’ailleurs largement le statut scientifique de la discipline médicale.

S8 - La clinique, entre ambiguïté épistémologique et anthropologie

Les rapports entre mathématiques et sciences sociales sont toujours en débat.
La « géométrie des oppositions » est une jeune et nouvelle branche des mathématiques qui est en train de mettre au jour les structures élémentaires de l’opposition.

La géométrie des oppositions est-elle un instrument de choix pour la sémiotique et l’anthropologie clinique ?

Après la présentation de Jean-Louis Feys sur les enjeux pour la psychiatrie et les influences avec lesquelles Jacques Schotte a construit son modèle d’anthropopsychiatrie, il s’agira de discuter à partir d’exemples cliniques de l’intérêt qu’apporte concrètement cette perspective nosographique.

L’anthropopsychiatrie de Jacques Schotte : réflexions pratiques et postures cliniques

Pour cette présentation de Jacques Schotte, de son parcours, de sa pensée et de son modèle « anthropopsychiatrique », le point de départ sera une série de questions fondamentales propres à la psychiatrie et déterminantes pour les soins qu’elle propose: comment définir et classifier les phénomènes psychiatriques ? Quelles en sont les causes imaginées ? Quelle est la part de responsabilité du patient dans ce qu’il lui arrive ? La psychiatrie est-elle un « bric-à-brac », un assemblage de sciences humaines bio-psycho-sociales ou a-t-elle des fondements propres ?

Questions fondamentales en psychiatrie : l’apport de l’anthropopsychiatrie de Jacques Schotte

L’anthropologie ne cesse de parler du sens, des difficultés épistémologiques qu’il y a à comprendre le sens de telle ou telle conduite dans telle ou telle société à telle ou telle époque. L’objet de l’anthropologie de ce point de vue est bien de réussir à déterminer comment les conduites collectives font sens pour leurs acteurs même s’ils ne sont pas, la plupart du temps, en mesure de l’expliquer : pourquoi telle règle de mariage ? Pourquoi telle parole associée à tel rituel ? Pourquoi telle forme donnée à un outil ? L’anthropologie tente de répondre à ces questions en dépassant les explications qui invoquent seulement la tradition, l’habitude ou les dieux.

Quelques remarques sur l’anthropologie sémiotique

Partant du constat que travailler ensemble dans l’intérêt de l’enfant était un vœu souhaitable mais peu abordable, nous avons cherché à proposer un outil qui permette aux différents adultes responsables de s’entendre et de se parler pour construire des représentations et des axes de travail communs. En effet, parler de droits et de besoins d’un enfant ou d’un adolescent nous permet de nous situer d’emblée comme ayant des devoirs vis-à-vis d’eux et devant lesquels nous ne pouvons pas nous défausser. Travailler à y répondre, c’est travailler les conditions qui permettront de pourvoir ses besoins et de garantir ses droits quel que soit l’espace et le milieu concerné. De cette façon, nous sortons du régime de la causalité et de la recherche du coupable, entravant toute mise au travail véritable, pour entrer dans une démarche de compréhension et de co-construction.

Analyse des droits et des besoins fondamentaux des enfants dans la perspective de l’anthropologie clinique

L’anthropologie clinique reprend le projet épistémologique proposé par Ernst Cassirer, à savoir « rassembler les différentes orientations méthodologiques du savoir, quelles que soient la spécificité et l’indépendance qu’on leur reconnaisse, en un système dont les termes singuliers se conditionnent et s’appelleront les uns les autres, en conservant leur nécessaire diversité » (Philosophie des formes symboliques, p.17). C’est dans et par ce projet que nous proposons de relire le stade du miroir comme la constitution d’une forme symbolique pour le sujet, basée sur son expérience empirique face au miroir.

Le miroir sémiotique : le stade du miroir entendu en anthropologie clinique

Esquisse d’une anthropologie clinique I et II co-signé avec Nicolas Duruz (PSN, 2015), proposait une réflexion épistémologique programmatique dont la visée s’inscrivait pleinement dans la perspective de dépassement des clivages intermodèles pour permettre aux professionnels des champs sanitaires, sociaux et médico-sociaux de trouver un sol commun dans le respect de leurs différences.

Anthropologie clinique : nouvelle proposition épistémologique pour une psychopathologie intégrative

VIDÉOS

La chaine YouTube IAC héberge des documents audios et vidéos que nous produisons ou glanons et retenons en fonction de leur pertinence et adéquations, en lien avec nos activités : captations de conférences, présentations de formation, extraits d’atelier, de séminaires ou d’entretiens, présentations de notre organisme de formation, documents…

Nous les organisons en listes de lecture en relation avec nos axes de recherche ou thématiques de formation.

Séminaire actualité de l'anthropologie clinique en construction.

Clinique et psychothérapie

Protection de l'enfant & Accueil Familial

Travail social & Laïcité

Famille & Parentalité

Anthropologie clinique & Epistémiologie

Anthropologie & Sémiotique

CARRÉ DE VIGNES ÉDITIONS

Développer des activités cliniques et d’accompagnement des pratiques professionnelles et appuyer ce travail par des activités de recherche implique la publication sur différents supports d’une pensée qui s’élabore.
La liberté, la réactivité et la souplesse qu’offre un outil de publication sont précieuses, dans un contexte où les cadres éditoriaux soumettent à de multiples contraintes.
Ainsi, lorsque des partenariats avec des éditions déjà existantes n’apparaîtront pas comme le vecteur le plus évident, l’IAC prendra le risque de la publication.

Mes parents se font la guerre

Un livre qui parle des conflits parentaux qui fabriquent des monstres dans la tête. Pour l’enfant attaché à ses parents, les sentiments destructeurs que se portent ces adultes ne sont pas sans conséquences psychologiques. Souvent, ses difficultés affectives passent inaperçues et ses comportements restent incompris. Un livre destiné aux enfants qui s’y reconnaîtront, ou reconnaîtront un proche ; aux adultes qui les accompagnent : parents, familles, éducateurs, enseignants, soignants…

Groupiak collectif d’auteurs de l’Institut d’anthropologie clinique Illustrations Cécile Dalnoky
Prix : 10 € TTC
Catégorie : album / Format : 18×17,5 et 24 pages
Septembre, 2014

Derniers exemplaires disponibles, plus de vente à distance, uniquement sur place (IAC, formations, évènements…).

En finir avec les parents toxiques — Parentalités empêchées

Ce petit livre (par le format !) se donne pour ambition de dynamiter la symbolique de parents toxiques et d’ouvrir l’ère de la parentalité empêchée.
Professionnel-le-s et usager-e-s de la protection de l’enfance, parents et enfants qu’on demeure la vie durant, il s’adresse à tous.

Serge Escots et Lola Devolder Illustrations Nathalie Lavaud
Prix : 6 € TTC
Catégorie : manifeste / Format : 11×21 et 32 pages
Février, 2016

Derniers exemplaires disponibles, plus de vente à distance, uniquement sur place (IAC, formations, évènements…).

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